Bonjour, quel logiciel de simulation permet de modéliser les pièces plastiques fabriquées sur imprimante 3D (non isotropes) ? merci

Bonsoir

pouvez-vous précisez

Pour nous :

  1. modéliser c'est Solidworks CAD (on dessine les pièces)
  2. Faire de la simulation a pour objectif de vérifier la résistance des matériaux.
  3. La matière est définie dans le Modèle (CAD 3D)
  4. Dans le module simulation  de SolidWorks c'est la matière définie dans le modeleur qui est utilisée. Tous les matières définies par Solidworks USA ou par vous si vous le souhaitez, sont utilisées sans plus de complication que ça dans Simulation.

Donc merci de bien vouloir préciser ce que vous voulez faire précisément .

Cordialement

Bonjour Bertrand

Pouvez-vous utiliser le corps du message et non pas le titre pour formuler vos besoins.

C'est l'usage sur tous les forums du monde entier ;-)

Je note aussi que vous faites la pour CATIA et Solidworks sachez que la différence et surtout une différence de coût énorme.

- CATIA est un "hypertrèscherware" alors que solidworks est seulement un "trèscherware" : les deux en comparaison des freewares dont pour ces derniers aucun ne fait de simulation à ma connaissance

Cordialement

Je vous remercie pour vos réponses.

Puisque les propriétés des materiaux déposés semblent dépendre largement des conditions de dépose ( vitesse...). Je me demande s'il existe un logiciel pour caractériser le matériau déposé et donc calculer la résistance de la pièce fabriquée.

 

Merci

 

Je ne pense pas qu'un tel logiciel existe, les paramètres sont soumis à trop de variable (fournisseur du fil, T° d'impression, vitesse, sens d'impression suivant axe x, Y ou Z  type de remplissage...)

Tout ces différents paramètres font qu'aucun logiciel ne saurait à mon avis donner un résultat fiable avec une impression FDM.

Bonjour

Vous chercher un logiciel de modélisation ou vous souhaitez faire des calcul sur vos pièce avant impression ?

 

La question c'est quel logiciel permet de modéliser .... C'est pour ça qu'il y a différent espace quand on écris un message, question et définition de la demande.

 

Pour les calcul de résistance je suis du même avis que sbadenis, pour des machines lowcost (individuel) a mon avis vous ne trouverez pas de logiciel, pour des machine professionnel ça dois exister car les paramètre sont très bien défini mais ça va coûter chère.

Cordialement,

Bonjour bertrand.chabanol

Détrompez-vous : les propriétés de dépôt sont homogènes et de se fait le caractère isotropique ou anisotropique est NS par rapport aux propriétés mécaniques.

Dans ce qui suit, je mets de côté les petites imprimantes à dépôt de fil genre REPRAP ou des imprimantes en kit.

Pourquoi ? pour plusieurs raisons !

  1. Pour les imprimantes professionnelles, le matériau après dépôt est très homogène et ce quelle que soit la technologie (fil, poudre, STeréoLitho) et de ce fait n a besoin de pas de logiciels qui de toute façon ne serviraient à rien pour plusieurs raisons.
  2. S’il doit y avoir un défaut, il ne pourrait être que localisé et sur une très faible dimension inférieure au 100ème et dans un volume dimensionnel inférieur au mm³.
  3. Aucun logiciel ne pourra prédire ni indiquer a posteriori à quel endroit précis il y a eu un défaut. C’est déjà pour cette simple raison qu’aucun fabricant ne se hasarderait à essayer de mettre au point un tel logiciel.
  4. Pour l’impression 3D il y a des règles à respecter selon le type de machine (par exemple pas de cloison inférieure à 0.6 mm pour les structures lattice)
  5. Les logiciels de simulation classiques PEF nous montrent que même dans les conditions où l’on pousse au maximum l’optimisation topologique (et encore pire si l’on fait de la topologie générative) il en faut tout de même beaucoup pour qu’une toute petite zone affaiblisse significativement la pièce qui a toute de toute façon un coefficient de sécurité. Faites des trous de 0.5 à 1 mm dans une pièce et regardez l’influence sur le résultat de la simulation classique, c’est NS.
  6. Toute l’industrie devant ses possibilités de défaut aléatoire a mis en place de multiples contrôles destructifs mais surtout non destructifs pour se prémunir contre les défauts mais uniquement dans certains types de fabrication.  La métallographie microscopique nécessite des techniques hypers pointues pour connaître la structure interne d’un métal qui peuvent révéler le défaut si l’on n’a le défaut dans l’échantillon prélevé : autant dire jamais. Même avec une fonderie la probabilité de tomber sur la bulle de gazage est pratiquement nulle et il existe d’autres méthodes pour les pièces de fonderie.
  7. ETc.. etc…

Cordialement

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