J’aimerais savoir si il serait possible d’augmenter le champ de définition d’une loi sous catia si oui comment puis-je faire ?
Je m’explique je suis entrain de modéliser une voûte, celle-ci est défini par une équation cosinus hyperbolique.
Pour obtenir la forme de ma voûte j’ai créé une droite (Sur mon image c’est droite 2) puis la loi me permettant d’obtenir ma forme (nommé équation intrados). Ensuite j’utilise la fonction courbe parallèle. Je sélectionne ma droite 2 puis lui applique ma loi.
Et j’obtiens la courbe suivante :
Et nous voyons que ma courbe est définie sur [0,1] or j’aimerais avoir une courbe en entier, c’est-à-dire avoir son symétrique sur la partie gauche. Donnant une définition du type [-1,1]. Et je précise que je ne souhaite pas utiliser la fonction « miroir ». Je souhaiterais obtenir ma courbe directement pour avoir une pièce « d’un seul bloc ».
Pour information ma loi est la suivante :
z=((-1)*A *(cosh((y*span)/A ))+(A +height ))/1mm
Avec z et y comme paramètre de type réel.
Je voulais ajouter l’équation suivante en utilisant les opérateurs : -1<= y <= 1. Mais Catia m’indique à chaque fois une erreur de syntaxe.
Si vous avez une solution à me proposer je suis preneur.
Donc comment faire pour obtenir une courbe "intégrale".
Je souhaite l'obtenir pour pouvoir en suite faire une analyse mécanique de celle-ci.
Or via la voie je fais une symétrie, j'ai constaté que je ne pouvais appliquer aucune condition de liaisons ou faire un maillage, ou autre. C'est comme si la symétrie était morte.
Je souhaite avoir une deuxième voûte d'une pièce afin de pouvoir comparer les résultats des 2 analyses afin de voir si j'obtiens la même chose ou non. (Car ma voûte étant symétrique peut être une partie modélisé suffit à tout définir).
Je pense que l'idée de Franck Ceroux est d'utiliser la fonction "extrapolation" de l'atelier surfacique pour prolonger une surface à partir d'un bord et de la courbure de la partie existante.
Pour ce qui est de savoir si une moitié du modèle suffit, il y a un critère assez simple : il faut que tous les éléments du modèle soient symétriques (conditions aux limites, efforts, ...). Si ce n'est pas le cas (ex : pivot d'un coté et appui plan de l'autre), alors il faut tout modéliser.
Sinon, si je comprends bien, tu as d'abord extrudé la courbe et après fait la symétrie. Est-ce que tu as essayé de faire le contraire ? Tu fais un symétrique de ta courbe, tu assembles ces 2 courbes et ensuite tu extrudes. De cette façon, la totalité de la surface est créée en 1 bloc, non ?
Bonjour désolé réponse tardive mais plus Internet chez moi en ce moment PB ligne téléphone.
Oui "Chamade" c'est bien l'objectif
Extraire la courbe "esquisse" dans l'atelier surfacique, prolonger la courbe en esperant que la déviation soit nulle.
Sinon autre solution (bricolage) mais cela permet d'avoir une courbe sans la cassure (arréte fictive) du a la fonction miroir.
Symétriser la courbe / assembler la courbe + la symétrie / fonction répétition point sur courbe (créer suffisament de points) / sélectionnner les points dans le graphe du premier au dernier (shift) / puis fonction courbe passant par ces points.
On obtiens une courbe sans discontinuitée donc une surface avec un seul carreau.
Bien sur il y a une petite différence entre la courbe évaluée par une loi et celle tracé sur les points de cette courbe (mais trés infime surtout si on prolonge la courbe a ces deux extrémitées avant.
Merci pour vos réponses. Franck.ceroux je vais essayer de suite votre idée.
Chamade,
Post 1 :normalement ma structure étant une voûte tous les élèments seront symétriques. Mais ce qui me posent problème c'est dans le cas ou nous avons une charge ponctuelle placé sur un seul côté de notre voûte, j'aimerais voir sont impact sur toute la voûte. Même avec ce cas pensez vous que juste une moitié de modèle suffit ou non?
Post 2 : Et bien avant de venir j'ai essayé les 2 méthodes.
Tout d'abord par extrusion de la courbe puis application d'une symètrie.
Et création de la coubre complète en répétant l'opération de création d'une courbe (création axe, application loi etc...) 2 fois. Puis 2 extrusions.
Et je retombe à chaque fois sur ce problème d'arête au milieu me désignant "2blocs"
Je vous remercie beaucoup pour votre aide précieuse et de m'avoir consacré du temps.
Franck j'ai essayé votre technique la première, malheureusement je n'arrive pas à obtenir une courbe suivant ma loi. Je ne peux que avoir des droites. Je m'y prends surement mal.
J'ai essayer votre deuxième technique que a moitié. Je m'explique la fonction assembler me permets d'obtenir une courbe continue avec mes deux courbes et sans être obligés de créer une multitude de point. J'ai voulu voir si je pouvais directement faire une extrusion et oui c'est possible. Donc ma question est la fonction "assembler" me permet d'obtenir une courbe continue, qu'elle est l'intérêt de créer une multitude de point pour faire passer une courbe? (Modèle plus précis que si je vais un assemblage de courbe? Nécessaire pour le logiciel? Autre?)
La fonction assembler crée une courbe unique de la courbe + la symétrie, mais au point de symétrie meme si on assemble avec continuitée en courbure il arrive qu'il reste comme un point de raccord qui génére cette fameuse arete fictive.
Je m'explique le phénomene par la tolérance des logiciels les points de depart et d'arrivée de la courbe sont créé sur un axe (X, et Y) une coordonnée est donc a zero (+ ou - la tol du logiciel) donc j'immagine qu'en réalité le point n'est pas exactement sur l'axe mais peut etre au dessus ou au dessous a droite ou a gauche.
Donc en créant manuellement une courbe unique continue (passant par les points créés coincident a l'assemblé) on n'a pas de discontinuitée comme observé sur l'assemblé.
Je viens de terminer d'appliquer votre 2 deuxième méthode. Effectivement elle me permet d'obtenir une magnifique voûte sans cette arête fictive.
Je n'ai pas une différence de dimension importante 2.7 mm pour une voûte de 3000 mm d'envergue je pense que c'est correcte pour une application dans le génie civil (il travaille au centimètre quand même).
Dernière question est après j'arrête (pour ce sujet ;) ) j'ai appliqué une répétition de 1000 points, cela semble beaucoup non? Comment définir le nombre de point approprié à son tracer.
Par là j'entends qu'il doit existe une limite de point nous permettant d'obtenir une courbe avec une précision correcte et ceci sans points "superflu" qui ne vont que alourdir le modèle. Il est évident que la "précision" de la courbe dépend du nombre de point la constituant. (Cela reviendrait à une minimisation du nombre point utilse permettant d'obtenir la courbe la plus précise).
Exemple : je pourrais ajouter 1 milliards de point ma courbe serait plus que bien défini, mais qu'elle serait la valeur ajouté de ces points? Il doit existe une nombre de point inférieur permettant d'obtenir la même précision/finesse.
Pour réduire le Nbrs de points je fait ça de maniere empirique.
Sur chaque points (pas envisageable avec des centaines) je pose une droite tangeante a l'assemblé de la courbe + la symétrie).
Puis aprés création de ma courbe par les points je défini a chaque points une tangeance (droite créés précédement.
Du coup je peux redefinir ces droites (angle passant par un point) et ajuster ainsi les directions de tangeance afin d'obtenir un résultat approchant avec un Nbrs réduits de points (c'est approximatif et il faut mettre les memes valeurs du coté symétrique.
Juste pour revenir sur la question du calcul, comme je le disais, s'il y a une charge qui n'est que d'un coté, alors le problème n'est plus symétrique, et donc il faut le modèle complet.
On imagine facilement dans ce cas que si on met, par exemple, une charge à 45° orientée vers le centre sur un seul coté, alors ce coté sera repoussé vers le centre tandis que le coté opposé sera repoussé vers l'extérieur. Donc la réduction par symétrie ne marche pas.