Je suis en train de faire des simulations d'une pièce qui à la base fait partie d'un assemblage, je lui ai appliqué un chargement à distance, car en réalité la force est appliqué sur une autre pièce de l'assemblage. J'aimerais si possible connaitre le déplacement au point ou j'ai appliqué le chargement à distance afin de connaitre la rigidité de ma pièce en ce point. Le problème c'est que ce point ne fait pas partit de ma pièce et je ne trouve pas le moyen de le connecter à ma pièce. J'ai pu travailler sur 3D expérience où c'était possible de faire cette manipulation en faisant un connexion qui créait une barre rigide virtuelle entre les points à connecter.
Est ce que quelqu'un aurait une idée pour réussir à mesurer ce déplacement ?
Deux solutions vous mettez une tige de 1mm de diamètre (ou moins) et donc la longueur est égale à la distance du chargement à distance.
Quand la charge à distance va se déplacer la tige fera de même pour la même valeur. Il suffit alors de rajouter une sonde sur le sommet de la tige dans le résultat pour avoir le déplacement.
A noter que dans SW vous avez aussi la possibilité de mettre une barre rigide virtuelle, mais comme elle est virtuelle je ne sais pas si l'on peut accrocher une sonde dans le résultat. Je n'ai jamais utilisé de barre rigide dans ce contexte très particulier. ;-) A essayer bien que je trouve la première proposition plus simple ! Et en rajoutant un mini-mini sphère à l'extrémité de la barre rigide pour accrocher la sonde.
Je ne suis pas sûr que la solution de zozo fonctionne si la connexion à distance n'est pas rigide mais souple (c'est une option de la connexion à distance).
Après test sur un exemple simple, l'option de type de connexion rigide ou distribuée ne semble pas avoir une grande incidence sur le déplacement du point d'appui virtuel.
Il est à noter qu'en distribué et sur mon exemple si je trace 3 tige sur ma surface, les déplacements ne sont pas homogène au bout des 3 tiges (ça doit en particulier dépendre du maillage (et du point d'application de la force) vu que j'étais sur un exemple simple d'une poutre parallelipedique donc ce n'est pas lié à la géométrie de la pièce dans mon exemple (mais peut être de celle du point d'application car pas centré par rapport à l'épaisseur de la poutre)).
Le truc bizarre c'est que j'ai le même comportement en rigide (ce qui ne semble pas logique à priori car si la face choisie est considérée comme étant rigide, mes 3 barres devraient bouger de façon identique en restant bien parrallèle).
NB : les écarts de déplacements ne sont pas énormes non plus proportionellement à l'amplitude totale : on est dans le pouillème
Mais si quelqu'un a une meilleure solution que la tige je suis preneur aussi.
Pour que le point défini pour une connexion à distance bouge, dans les faits, cela dépend de la déformation qui est à l'opposé de ce point. Si le point se déplace beaucoup c'est qu'il y a un problème voulu ou non voulu sur la pièce non virtuelle sur lequel est censé s'appuyer la pièce virtuelle.
D'où les pouillèmes de déplacement. ;-)
Cordialement
PS : je n'ai jamais utiliser la connexion à distance souple ! Aurais-tu un exemple à tout hasard ;-) Que j'en profite pour m'instruire ;-)
je reviens sur ma proposition qui est simple ne perturbe pas la simulation et surtout donne en lecture directe le déplacement en X Y Z.
Dans mon exemple j'ai choisi "connexion rigide" et j'ai appliqué la charge sur une zone définie par des lignes de séparation.
Pourquoi j'ai choisi la solution de la mini baguette pointue, me direz-vous ! 1°) la baguette de très petit diamètre n'a aucune incidence en terme de poids ou de propriété rigidifiante et donc n'influe pas la déformation de la pièce inspectée.
2°) le fait d'avoir un seul point lors du maillage de la baguette donne un seul noeud fait celui-ci va se déplacer dans l'espace en fonction de la déformation de la pièce.
3°) l'avantage c'est que l'on peut avoir les valeurs précises au micron si on le souhaite du déplacement X Y Z de ce point.
Pourquoi j'en suis venu à utiliser un artefact "baguette" ?
Ce n'est pas la première fois que je suis confronté à ce problème et les résultats de la simulation sont purement graphiques et avec des volumes virtuels sur lesquels il n'y aucune possibilité de faire des mesures directes sauf à poser des sondes sur des zones ou des noeuds précis. En dehors de la sélection d'un noeud point de salut !
Dans le cas des charges à distance le graphisme de la position de la charge à distance et un visuel fictif permettant de voir si l'on ne s'est pas trompé entre les plus et les moins. Mais une fois la position définie, Solidworks ne met plus à jour ce graphique rose. D'ailleurs si l'on bascule de déformé à non déformé on voit que l'indicateur de position de la masse à distance ne bouge pas. Par contre il est possible de connaître dans les résultats la position xyz de tous les noeuds du modèle. (cf les images)
Mon système est peut être pas orthodoxe, mais il me donne le résultat que je cherche sans perturber le résultat de la simulation globale.
c'est ce que je retiens et utilise avec ma méthode KISS
La différence entre connexion rigide et connexion souple est que si tu choisis 'connexion rigide' l'ensemble de la face sélectionnée est rigide (donc cela revient à appliquer ta charge externe sur un plan rigide collé à ta pièce. Si cette surface est loin d'être rigide (parce que c'est une épaisseur fine avec une nervure derrière par exemple), le choix de cette option peut modifier sensiblement les résultats.La connexion souple sera un peu plus réaliste dans ce cas.
Le vocabulaire du module simulation est plutôt confus. S'agit-il de connexions-connecteurs ou de chargements ? La question initiale portait sur un chargement à distance (menus [Chargements externes], [Chargement, Masse à distance]), qui distingue deux options : [Chargement (transfert direct)] et [Déplacement (connexion rigide)]. A ce stade, c'est loin d'être clair !
Je pense que cette distinction [Chargement] / [Déplacement] n'est pas liée à la pièce déformable en cours d'étude, mais plutôt à "l'objet virtuel", symbolisé par les segments roses, qui transmet son action à la pièce étudiée. Dans le cas d'un [Déplacement], cet objet virtuel est indéformable et la surface d'action sur la pièce étudiée subit un déplacement de solide. Cette "action" est d'ailleurs définie en mm et en degrés. Une surface plane restera plane et de même forme. Dans le cas d'un [Chargement], l'objet virtuel "distribue" l'effort (défini en N et Nm) à la surface de la pièce étudiée en suivant une loi apparemment linéaire, inspirée du principe de distribution au sein d'une poutre en rdm (cf. aide).
Dans ce cas, la surface de la pièce étudiée se déplace et se déforme. Une surface plane ne restera pas plane.
A noter que dans le cas d'une action de type [Chargement], le principe de la tige-sonde ne convient pas pour évaluer le déplacement du point ou s'applique le chargement, puisque le mouvement de la tige-sonde dépend de son point d'encastrement dans la surface où s'exerce l'action. En revanche, le principe convient pour une action de type [Déplacement], mais il est inutile puisque le déplacement est une donnée...
Quand je lis le contenu du post précédents je me dis que je ferai mieux de ne plus répondre sur la simulation.
Avant de dire en filigrane qu'une solution est inepte en affirmant que la tige-sonde ne sert à rien il faudrait comprendre la démarche de A à Z.
Il n'est pas interdit de proposer une solution qui correspond à la demande : au lieu de faire de l'exégèse sur la traduction de l'aide en ligne de l'Américain par un Japonais travaillant en Chine et traduisant d'après le Ordou.
Si je dis des inepties et que l'on apporte la preuve, je suis près à renoncer à poster sur ce forum et même à ne plus y mettre les pieds ni le clavier